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Voyage, voyage!

Que faire pour se vider la tête entre deux sessions d’université quand on a la chance de ne pas avoir à travailler et qu’on a douloureusement conscience que cette chance ne sera pas toujours possible? On part en voyage! Quand je suis retournée aux études en août 2008, j’avais l’impression que nous ne pourrions pas aller en voyage pendant tout le temps que se poursuivrait ce projet. Nous avons fait un voyage en Mongolie juste avant que je quitte mon emploi, histoire de faire le plein de paysages et de sensations.

Or je n’avais pas songé au fait que les cégépiens bénéficient de 5 semaines de congé pour les vacances de Noël. Nous avons donc planifié un voyage pendant la période des fêtes 2009-2010 pour une destination qui correspondait à notre (petit) budget: le Costa Rica.

 

L’hiver suivant, pendant le congé des fêtes, nous avons fait un voyage combinant kayak et voiture à Baja California Sur, au Mexique.

Ces deux voyages m’ont à la fois permis de décrocher de l’école, de me remettre de la folie de fin de session et de faire le vide nécessaire pour recommencer avec … j’allais écrire avec entrain mais disons plutôt avec un esprit reposé et plus ouvert à l’apprentissage.

À la fin du cégep, après l’examen de synthèse de programme (ESP) et avant l’étude et le stress de l’examen de l’OIIQ, soit en mai 2011, nous avons décidé de célébrer la réussite de ma technique et d’une bonne partie de mon projet en faisant un voyage d’un mois en Corse avant que je débute le boulot pour l’été.

Depuis, nous n’avions fait qu’une très courte escapade, pendant la relâche en mars 2012, pour aller visiter le frère de Martin qui habite Tuxtla, au Chiapas, et pris 2 semaines de vacances au Québec en kayak et en camping à l’été dernier. Même si le congé des fêtes est passablement plus court à l’université qu’au cégep, nous avons décidé d’en tirer à nouveau et probablement pour une dernière fois partie  cette année en voyageant au Guatemala où le territoire permet de faire un beau voyage même dans un temps assez restreint (18 jours).  Nous revenons tout juste de ce voyage qui m’a encore une fois permis de me vider la tête de tous les tracas et les incertitudes qu’entraîne les études et les stages. Je sens que j’ai récupéré la force nécessaire pour entreprendre (avec courage!) la dernière de mes 4 sessions universitaires.

Je crois fermement aux vertus du voyage qui permet non seulement d’abandonner pour un temps ses soucis à la maison mais aussi de remettre en perspective les obstacles et les difficultés auxquels nous faisons face. Le voyage me permet de mieux comprendre qui je suis et qui sont les autres (ce qui n’est pas inutile en soins) et de réévaluer vers où je veux aller. Surtout, le voyage est une occasion de vivre intensément avec Martin, ce qui a toujours le don de me calmer les nerfs et me rendre profondément heureuse.

 

 

 

 

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