Examen de l’OIIQ, septembre 2011: les écos.
pavillon Edouard-Asselin sur streetview où se déroulait la partie pratique de l'examen de l'OIIQ pour près d'une centains de finissants.
C’est à 7h45, à l’hôpital St-Luc, que j’ai été convoquée pour la partie pratique de l’examen de l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec, communément appelée les ÉCOS, pour examen clinique objectif structuré. Bon. Examen ça va, clinique plus ou moins, objectif vraiment pas, et structuré … bof … Évidemment, le contexte est très stressant: debout devant une porte, dans un corridor de l’hôpital, au son d’une sonnerie on entre pour découvrir la « station ». Il s’agit de lire les instructions et d’effectuer la tâche demandée dans les 10 minutes allouées. Au son de la sonnerie, on sort, on a une minute pour se déplacer vers la prochaine porte et on recommence pendant 16 stations, avec trois « pauses » de 10 minutes, pour une durée totale de 3h30. Un véritable marathon au niveau du stress et de la concentration.
la déprimante entrée du déprimant édifice où s'est déroulé le non moins déprimant examen pratique de l'OIIQ
Vers 7h45 on nous a invités à nous inscrire, c’est à dire à faire la file pour obtenir, en présentant notre convocation et une pièce d’identité, la cocarde avec notre photo que nous devions coller sur notre uniforme. Nous étions environ 80. Nous avons ensuite eu droit à une présentation powerpoint fort mal à-propos où on nous expliquait le fonctionnement de l’examen … disons qu’il aurait été apprécié que ces explications nous soient fournies avec notre convocation et non quelques minutes seulement avant le début de la chose, augmentant ainsi l’attente et le stress sans utilité. Répartis en groupes de 19 personnes, nous avions chacun une carte de couleur selon notre groupe, avec le circuit personnalisé que nous allions devoir effectuer; ainsi sur ma carte était indiqué que je commençais à la station 4, avec un repos après la 5e, un autre repos après la 11e, et un dernier repos après la 16e. On nous a invités à aller aux toilettes avant de monter sur les étages, l’ambiance était vraiment très tendue. Ensuite, regroupés par couleur, nous avons suivi une dame jusqu’aux ascenseurs et nous sommes montés au 5e étage où une autre équipe nous attendait. Nous étions dans une aile de clinique externe. La salle d’attente était l’endroit central où nous pouvions poser nos choses, sacs, manteaux … Les stations étaient réparties dans les bureaux de part et d’autre de la salle d’attente, de 1 à 16, avec une chaise à chaque endroit où il y avait un « repos ». Rien de bien compliqué finalement.
Après quelques consignes de base (ne pas parler entre les stations ni pendant les repos, où sont les toilettes, tout le monde a-t-il un stylo …), nous nous sommes postés devant notre station de départ et avons attendu la sonnerie. Il était 9h00, soit 1h15 après l’heure pour laquelle nous avions été convoqués.
Les stations se sont donc enchaînées à partir de ce moment. C’est très long, 3h30 d’examen où il faut avoir une concentration qui ne se relâche jamais, contrairement à un examen théorique où on peut prendre quelques minutes pour rêvasser si cela nous chante. Ici, chaque minute est comptée et doit être utilisée à bon escient. D’autre part, les 3 stations de repos (en fait, on s’assoit sur une chaise dans le corridor pendant que les autres entrent dans les stations) n’en sont pas vraiment … comment ne pas penser à ce qui vient de se produire, à la situation dont on sort tout juste, comment ne pas se dire j’aurais dû faire telle chose, dire telle chose, j’ai oublié telle affaire … c’est impossible. On passe 10 minutes à se ronger les sangs, sans relaxer le moins du monde. La seule chose que j’ai pu faire de constructif pendant ces pauses est d’aller boire une gorgée d’eau à l’abreuvoir, car on parle sans arrêt pendant tout ce temps et on sort de là avec un mal de bloc et la bouche sèche! Au niveau de la logistique, il semble que dans d’autres hôpitaux c’était très bien, en ce qui concerne St-Luc j’ai trouvé tout ça très broche-à-foin. Les situations n’étaient pas du tout réaliste, compliquant la compréhension et l’exécution. « Effectuez l’évaluation et faites les interventions requises » constituait la plupart du temps les instructions, ce qui ne veut rien dire finalement. De toute manière, dans la plupart des stations, les interventions à faire n’étaient pas reliées avec la condition présentée sur les feuilles d’instruction. Je me suis souvent dit que j’aurais tout aussi bien pu me contenter de noter seulement le nom du patient, tout le reste étant complètement superflu. En discutant avec les filles des autres groupes à St-Luc et aussi dans d’autres hôpitaux, je me suis rendue compte que les évaluateurs sont loin de suivre tous les indications de l’ordre relativement au fait de se tenir coi par exemple et de ne donner aucune indication. Ainsi, dans une station où il fallait se laver les mains, une évaluatrice sur un étage demandait aux étudiantes: pendant combien de temps doit-on se laver les mains?, alors qu’ailleurs, pour la même station, l’évaluatrice ne disait rien et les filles se rendaient compte a postiori qu’elles avaient oublié de mentionner la durée requise du lavage de main. Évidemment que pour les mêmes situations, les acteurs (n’agissant pas tous de la même manière, malgré les consignes, ne sachant pas toujours quoi répondre à nos questions, parfois surpris par nos interventions), l’environnement (les bureaux, les civières, les équipements pour le lendemain qui traînent, les chaises droites, l’absence des équipements attendus) et les évaluateurs différents constituent des facteurs importants d’inéquité dans l’évaluation. Et c’est sans compte que les situations sont différentes sur les deux journées, autres facteurs diminuant la crédibilité de l’ensemble.
Pour ceux que ça intéresse (!), je ne suis pas du tout optimiste quant à mes chances d’avoir réussi cet examen. Je sais que tout le monde a cette impression lorsque les écos se terminent, mais disons que l’ensemble ne me dit rien qui vaille. J’ai détesté cette expérience encore plus que je ne l’avais prévu. Je n’étais pas si stressée en fait, car je me disais que j’avais fait tout ce qu’il fallait pour être prête et que le reste ne dépendait pas de moi. J’étais tellement naïve de croire qu’une bonne préparation, trois années de cours, des expériences de stage et de travail comme externe et comme cépi, des lectures complémentaires et deux journées de préparation offertes par mon employeur me permettaient d’envisager la réussite de l’examen. Que nenni. Dans plus de la moitié des stations, je n’ai jamais compris à quoi on voulait en venir. Dans les autres, les notions questionnées ou les situations présentées ne m’avaient jamais été enseignées à l’école. Même si j’ai pris au moins 2-3 minutes pour lire attentivement les documents, j’ai terminé avant la sonnerie dans la plupart des stations, à court d’informations à transmettre ou d’acte à poser, pétrifiée de constater que je n’avais plus la moindre idée de ce qui devait se passer par la suite, la tête vide et les mains moites, gênée et humiliée. Je me suis sentie, pendant 3h30, stupide et incompétente. Je dis 3h30, mais en fait ces sentiments persistent même une semaine après l’examen.
Je suis sortie de l’hôpital non seulement très déprimée à l’idée de devoir tout refaire en mars prochain, mais surtout fâchée de constater que de deux choses l’une: soit nos études ne nous préparent pas suffisamment pour le travail à accomplir, soit l’examen ne sert pas à évaluer les connaissances et le jugement acquis pendant ces trois années, mais d’une manière ou d’une autre il y a un décalage important entre l’enseignement qui m’a été prodigué et le test auquel j’ai dû faire face. À savoir si le cégep devrait orienter son enseignement en fonction de la réussite de l’examen de l’ordre, ou seulement se contenter de donner un enseignement adéquat sans se soucier que les étudiantes réussissent ou non l’examen, c’est une question que l’équipe de professeurs doit sûrement se poser chaque année quand ils voient nos scores descendre à l’échelle du Québec. Il reste que, peu importe ma performance, j’ai trouvé cet examen presque sans lien avec la pratique infirmière, en tout cas celle que j’ai vue et vécue pendant mes nombreux stages et mes expériences de travail. Plus frustrant encore, j’ai l’impression que beaucoup de choses importantes, les plus importantes même à mes yeux, n’ont pas été évaluées et je suis très étonnée de constater que c’est de cette manière qu’on détermine qui aura ou n’aura pas le droit de pratique; je ne vois pas du tout le rapport entre l’examen et l’évaluation de la pratique sécuritaire des infirmières.
******La liste des stations d’ÉCOS a été retirée suite à un appel de la directrice scientifique de l’OIIQ me demandant de respecter l’engagement de confidentialité signé lors de l’inscription à l’examen.
Voici une liste des stations du samedi. J’ajouterai éventuellement celles du dimanche. Les 2444 candidates passaient les écos sur 4 demi-journées, avec les mêmes stations les samedis matin et pm, et des stations différentes le dimanche. Toutefois, quelques stations se répétaient sur les 2 journées.
ajout 28 septembre 2011- les stations qui se sont répétées les 2 jours sont en italique
novembre 3rd, 2011 at 14:56
Salut, je suis tombée sur ton blogue tout à fait par hasard en cherchant si on pouvait savoir si l’Ordre avait terminé la correction des examens. J’ai fait les écos en septembre aussi, la journée du samedi… J’ai lu ce que tu as écris et je tiens à te répondre parce que j’ai vécu exactement la même chose avec les mêmes sentiments.
J’ai toujours été bonne à l’école et tout ça pour finir par me sentir stupide et humiliée lors de mes écos. Je tente de me consoler en me disant que j’aurais étudié 3 mois de plus que ça n’aurait probablement rien changé. Je ne pense pas avoir réussi l’examen non plus, mais ça semble être un sentiment généralisé. Ou bien on échoue tout le monde ou bien on a pas mal tous fait la même chose. Je me dis que le taux de réussite est de 70% alors on doit bien avoir une petite chance. J’ose l’espérer en-tout-cas… Mais je n’ose pas trop me faire de faux espoirs, j’attendrai d’avoir reçu la confirmation.
Bref, je voulais juste que tu saches que tu n’es vraiment pas la seule avec ce sentiment de désastre et je te souhaite de ne pas avoir à recommencer en mars.
Bonne chance à toi
novembre 28th, 2011 at 9:06
Je sui infirmiere etrangere je ne suis pa de tout etonne avec ces comentaires, toujours dans en preparation pour le curs d’integration ont se sent que l’experence de l’examen est une veritable choque!!!
décembre 18th, 2011 at 14:21
Allo,
Merci pour ce tableau transparent et pour les ÉCOS. Finalement, j’espère que tu as réussi ton examen et qu’on ne se croisera pas en mars alors que je ferai mon examen;)
janvier 19th, 2012 at 18:10
Je suis très contente que t’as mis tes commentaires. Je pense de la meme façone. Je ne suis pas francophone, alors, je me suis toujours dit que j’ai des difficultés particulières a cause de la langue, mais si les francophones ressentent la meme chose que moi, il y a un problème quelque part. J’espère que la directrice scientifique lit ton blogue attentivement. Ca fait déjà deux fois que j’échoue l’examen pratique. J’ai tout lu au moins deux fois, j’ai pris des cours preparatoires, j’ai consulté presque toutes mes notes de l’école et je ne peux pas imaginer qu’est-ce que je doit faire de plus pour le passer?!!! On ne peut pas consulter notre examen, donc, on ne peut pas savoir nos fautes. Comment je dois me performer??? Il faut mentionner que je ne suis pas du tout idiote (après l’examen de OIIQ je ne suis plus sure de rien) : j’ai un BAC en relalions internationnales, j’ai deja terminé l’école professionnelle avec la médaille de mérite et presentement je travaille comme infirmière auxiliaire depuis 6 ans et j’ai jamais rien echoué dans ma vie. Je pleure tout le temps, je ne suis plus si jeune pour changer la profession; jai mis trop d’effort et du temps. Je suis completement decouragée et frustrée… Excuser moi pour mon francais, c’était le cri de mon coeur.
février 4th, 2012 at 10:48
Bonjours les filles et gars, je viens de lire vos impressions .J’ai 35 ans d’expérience dans le métier dont plusieurs années en cardio et soins critiques.Quel absurdité ces examens pratiques du moins de la facon dont vous le présenter Ce n’est pas la première fois que j’en entend parler.Les mises en situations sont tjrs plus compliquées par manque d’expérience.Si vous avez a vivre ces mêmes expériences auourd’hui vous verrez la différence.Quoi qu’il en soi un bon réconfort verbal serait de mise avant les mises en situations,plutôt qu’un power point.Curieux n’est-ce pas on vous enseigne d’être a l’écoute de vos patients et de les réconforter,alors qu’ils font le contraire « CORDONNIER MAL CHAUSSÉ »Ditesvous biens cher nouveau et futur collègues ,qu’une bonne écoute auprès de votre patient vaut souvent une pilule ou une petite granule.Savoir écouter c’est a mon avis la base du traitement,même dans le système de vitesse a lequel vous êtes confrontés.Bievenus(es) dans le club ET BONNE CHANCE
février 5th, 2012 at 17:15
ME rejoindre svp.Merci
février 6th, 2012 at 11:02
Salut Olena. Est-ce que tu sais que tu peux communiquer avec l’OIIQ afin d’obtenir plus d’informations au sujet de ton examen? Il semble que tu puisses même rencontrer quelqu’un le cas échéant pour regarder ton examen. Tu dois communiquer avec Manon Bellehumeur au 514 935-2501 poste 204. Bonne chance, ne perds pas courage surtout. Il faut être têtue
mars 14th, 2012 at 16:25
Merci pour ton partage. Quoique je passe l’examen dans un autre milieu, je ne m’attends pas à ce que tout soit parfait. Une de mes amies à d’ailleurs confirmé ce que tu avances.
En tout cas, j’étais bien contente quand je suis tombée sur ta liste des ÉCOS sur le net!!! Je suis surprise de la demande de retrait de la part de l’OIIQ, car comme tu le dis il y a des listes format papier qui circulent et de toutes façons ont a tous des amies qui ont fait l’examen avant nous ou qui connaissent quelqu’un qui connait quelqu’un; vive le bouche à oreilles!
Je te souhaite une bonne continuation, chère collègue infirmière et au plaisir de te lire un de tes billets prochainement!!!
mai 6th, 2012 at 14:02
Bonjour,
Je viens de lire vos commentaires: ma fille viens de refaire l’examen en mars.Elle s’est payer une formation avec d’autres compagnes afin de ne pas répéter les mêmes erreurs et lorsqu’elles sont sorties de l’examen,elles étaient démolies.À quoi ça sert ces examens?Est-ce que l’OIIQ réalise que ce sont des jeunes qui n’ont pas d’expériences et qu’elles ne peuvent pas avoir les reflexes,les connaissances que nous avons développés avec le temps?Pour ce qui est de moi qui ait 33 ans de pratique infirmière je crois que de faire cette façon d’évaluer est dérisoire et incite l’exode des infirmières et l’abandon de la profession avant même d’avoir débuté.Il serait plus approprié de faire un principe de ( préceptorat/mentorat ) je crois que se serait plus aidant et plus valorisant pour notre relève.
juin 8th, 2012 at 8:42
Bonjour, Ce message est pour l’administrateur du blogue. Je travaille à préparer les CEPI de mon hôpital à l’examen de l’OIIQ. J’aurais aimé discuter avec toi afin d’obtenir diverses informations de ta part. Je te remercie!
septembre 5th, 2012 at 12:31
allo un message pour l’administrateur du blog j’aurais quelques questions a vous poser concernant l’examen si c’est possible merci d’avance
septembre 16th, 2012 at 14:16
WOW!!!!
tous nos efforts méritent d’être reconnus!!
j’ai ADORÉ liere ce blog!
Je passerai le 23 septembre prochain mes ÉCOS à ST-Luc aussi!!
Mon dieu que ça semble STRESSANT!!!!!!!!!!
Je me dis depuis la fin de mon DEC que ce sera l’examen de ma vie!!
J’espère que tu as réussi ton examen
C’est dommage que la liste des ÉCOS soit retirée! J’aurais TANT aimé connaître ces sujets!!
Bref! SUPER BLOG
je retourne à mon étude INTENSE hahaha
septembre 23rd, 2012 at 10:49
Bonjour,
Alors je lis ton blog,j’ai fais les écos hier,je suis complètement démolis. J’ai échoué c’est certain,dans 3 écos, je savais absolument pas quoi faire, 3 sur 16, alors ca donne pas de place a beaucoup d’erreur dans les autres stations. J’ai travaillé fort pour retrouner aux études et maintenant, comme si 3 ans de retour en classe ne suffisaient pas… cette épreuve. Je sais meme pas encore si j’irai perdre mon temps demain a l’examen théorique, je vois pas ce que ca donnera, peut etre juste m’enfoncer encore plus peu plus… Mais, merci de ce blog
octobre 1st, 2012 at 20:33
Bonjour, je suis une jeune CEPI de 23 ans de l’hôpital Laval à Québec et je viens de faire mes écos la fin de semaine passé :'( C’est un pure desastre ! C’est horrible, 5 ans de préposée aux bénéficiaires, 1 été d’externat et une autre CEPI ….3 ans de cégep sans aucun échec …95% – 97% en stage un sourire et de l’amour absolue pour la découverte de se fabuleux métier ….je ne peux pas croire que cet examen me fera perdre la tête ! Je crois que je vais terminer par etre folle …au secours
octobre 27th, 2012 at 22:12
Chères CEPIS…
Je comprends tellement ce que vous vivez et comment vous pouvez vous sentir. J’ai moi aussi fait l’examen de l’OIIQ en septembre dernier. Quelle expérience pénible!.. Je savais que c’était loin d’être gagné d’avance et que ce passage obligé serait difficile, mais ça a dépassé toutes mes attentes. Ne reste plus que quelques semaines avant de recevoir nos lettres. Alors, à tous ceux et celles concerné(e)s: Bon courage pour la suite des choses, et surtout, ne lâchez pas!
novembre 18th, 2012 at 17:20
comment peut-on dire que cette examen de fait par ordre est évaluée correctement si on nous dit que nous ne pouvont pas avoir accès a notre copie pour regarder nos erreurs suite a un échec et ca nous coute en plus des $$$ pour une nouvelle revérification on paye pourquoi au juste….il me semble que si l’on voit ses erreurs ce la nous permet d’être meilleur en général je pense que l’on doit avoir accès a nos copies, mais la chanson est bien différente quand on téléphone a cette ordre la réponse est simple c est un non que l on recoit!!!!!il me semble que si je vais chez le notaire l avocat ou chez le médecin il est tjrs possible d’avoir accès a nos document meme a l’école sest possible alors pouquoi pas a l ordre la question se poses non!!!!
décembre 17th, 2012 at 6:50
Bonjour a tous,
L’examen ECOS est fait pour faire l’argent. .Même pour ceux qui réussissent l,examen Ecos (bravo )mais veut pas dire que sont mieux que les autres…..Pensez-vous vous laisser voir vos examens?Aucun chance….ils ne vont plus avoir l’argent .
mars 18th, 2013 at 0:03
Très en accord avec ce que tu as dis. Je viens de passer l’examen, sans un once de stress. Mais j’en suis sorti rabaissé. Des évaluatrices qui te dévisagent comme si tu ne sais pas de quoi tu parles. Jamais de ma vie je me suis vu si incompétent et ça fait mal. Passé ou non, ce fut l’une des expériences les plus dévalorisantes de ma vie. Courage à ceux qui devront passer par la.
avril 18th, 2013 at 12:30
Jaimerais avoir la liste des sujets dexamens svp je passe mon examen le 9 mai
avril 28th, 2013 at 21:26
Salut, tu peux m’écrire sur mon courriel SVP, j’aurais deux ou trois petites questions pour toi! Bonne soirée!
mai 9th, 2013 at 21:17
Bonjour,
Moi jai echouee 2 chances et un echec pour un envoi en retard a cause de des problemes personnels. Bref, jai 3 echecs. Je demande une revision de mon dernier examen mais je nai plus trop despoir. Je suis monoparentale, jai sacrifié 3 ans de peine et misères en vainc et je suis extrêmement découragée.
Il y en a de vous qui ont fait faire une révision et sen ai suivi une réussite?
Je suis si découragée. Jai la rage au coeur.
mai 13th, 2013 at 21:54
salut, je suis admis au cégep de l’Outaouais et quand j’ai lu tous ces témoignages décevants je commence sérieusement à renoncer à ce métier malgré ma passion pour la santé et l’infirmerie; j’ai déja un master en éducation mais j’ai pas trouvé de boulot j’ai décidé de faire de ce recul et relever ce défi mais là je commence à me stresser, y a t il pas une bonne nouvelle s’il vous plait?
juin 10th, 2013 at 20:40
oui la bonne nouvelle c’est qu’ils seront retirés à partir de septembre 2014 …alors pour les cepi, vous ratez deux fois et à votre troisième chance, pas d’ECOS…et pour les nouvelles, pas d’ECOS. Bon courage à toutes.
juin 24th, 2013 at 15:35
Bonjour,
Merci pour ton message
J’aurais une question pour toi moi aussi… Je passe mon examen
en Sept 2013… pas trop luckeuse !Si jamais tu as une minute
Véronique
septembre 22nd, 2013 at 0:33
Salut,
Je venais juste de faire l’examen pratique aujourd’hui… Et puis comme le reste de vous autres, j’etais rentree avec assez de confiance et sorti decouragee et frustrer au max. J’ai essaye de google pour voir si quelqu’un a poster leur sentiments aussi apres l’examen. J’etais tombee sur cette page par hasard et je realise que j’etais pas la seule d’etre sorti de la en se sentant incompetant.
Ce qu’il me surpris de tout ca, c’est a la fin de l’examen il nous a fait remplir un sondage par rapport a l’examen. Je comprend pu rien, a
septembre 22nd, 2013 at 0:37
…je me sentais comme un rat blanc qu’on utilise pour faire des experiences. Apres tous ces annees, les candidats resentent le meme sentiment et rempli le meme sondage, mais ca l’air que rien n’as ete changer ou ameliorer.
octobre 4th, 2013 at 8:02
Jai fais Ecos en septembre dernier, le dimanche… C’était tout simplement dégoutant! Je n’en reviens pas!
Jai toujours eu d’excellentes notes à l’ecole, en stage, jai des excellents commentaires de mes patients et collègues, je n’ai jamais éte dangeureuse, je vais toujours chercher de l’aide lorsque je ne suis pas certaine, etc! Et bien, malgré tout cela je pense échouer cet examen! Il y a 5 stations sur les 16 que je suis sure de couler car je ne savais pas quoi faire et jai fait des erreurs stupides et oublier des choses simples à cause du stress! C’est nimporte quoi, je ne savais pas que cet examen pouvait être autant déstabilisant, je suis découragée! On se rend malade avec ça : pleurs, insomnie, anxiéte, maux de ventre, perte d’estime de soi…. Je me considérais comme une bonne infirmière jusqu’à cet examen, maintenant je me pose beaucoup de questions!
Il y a beaucoup trop de papiers à lire dans les stations! Nous perdons un temps fou à lire tout ça, ensuite nous ne nous souvenons plus de la moitié et il nous reste 6 minutes pour intervenir! Cest ridicule, ce n’est pas humain comme examen!
Cet examen ne nous permet pas de montrer notre savoir-faire et savoir-être, ça nous permet simplement d’être humiliée dans des situations »pour infirmiere novice » hyper stressantes….
novembre 8th, 2013 at 11:43
Pardon pour les errors..je suis anglophone. J`ai faites mon examen de l`ordre sept 2013. Pour 3 ans j`ai travaillé très fort aux études et aussi travaillé chaque fin de semaine! On attends nos résultats de l`examen…c`est la première fois dans ma vie que je ne suis pas sure si j`ai passé un examen! Même , j`ai fini mon cegep avec les honoré académique. Avec chaque semaine qui passe..le plus que je pense que j`ai échoué! Je sent malade! Je suis même pas sure si je poché que je veux refaire l`examen une deuxième fois…je ne peut pas étudier plus que j`ai déjà faite la première fois. Oh que je suis découragé aujourd’hui.
février 11th, 2014 at 14:22
Bonjour,
Merci infiniment pour ton blog. Je passe mon examen en mars 2014 et je serai ravie si tu me contactais car j’avais certaines questions pour toi. Merci et bonne journee.
février 18th, 2014 at 12:26
Salut, je t’ai déjà écrit dans le passé. Je me demandais si tu voudrais bien m’envoyer la liste des ecos que tu as eues. Je passe mes ÉCOS en mars… et disons que je commence être stressé!
Merci!
mars 16th, 2014 at 23:35
Bonjour,
Je viens de passer l’examen aujourd’hui. Je suis dégoutée, découragé, j’ai l’impression d’être incapable de rien faire. Bref!!!je ne sais pas si je vais réussir!!
mai 25th, 2014 at 10:21
Bonjour, ça fait deux fois que j’échoue l’examen de l’Ordre il me reste une chance en septembre 2014 comment savoir quoi améliorer quand on ne peut même pas voir nos examens. Pourtant lors de l’essaie en mars j’étais certaine de passer je suis sortie de mes deux examens confiante et heureuse de ce que j’avais fait j’était prête j’étudiais comme une force née depuis 4 mois avec le centre d’aide aux études. Pourtant j’ai réussit à faire mon cours en deux ans au lieu de trois toujours en étant au sommet dans les notes et que dire sur le plancher en tant que CEPI je sais que je suis dans mon domaine. Je ne cesse de me dire pourquoi j’ai échoué??? Lors de mon premier essai au mois de mars 2013 4 jours avant j’avais un rdv chez le médecin pour suivi de grossesse qui me fit la peur de ma vie en disant que mon bébé était mort une échographie 24h plus tard prouvait le contraire mais que dire de mon état lors de l’examen .. je peux comprendre que je n’ai pas réussit.. en septembre 2013 j’ai accouché donc congé de maternité et mars 2014 j’ai étudié désolée pour le terme mais comme une malade! Fière et confiante je me sens un peu désemparée lorsque je vois l’échec sur ma feuille de résultat … Ok il me reste une chance je refais une formation avec le centre d’aide je donne toute la gomme mais c’est ma dernière chance … Si jamais que faire dans la vie?? Ils ne cessent de dire qu’il manque d’Infirmières pourtant je suis diplômée et je suis bonne dans ce que je fais sur le plancher et mon patron est fier de moi … vais-je y arriver??? À suivre
mai 26th, 2014 at 9:56
Bonjour Audrey. Ne vous découragez pas, la plupart des gens finissent par réussir au bout des 3 tentatives. Avez-vous téléphoné à l’OIIQ pour obtenir de l’information au sujet de votre examen? Je sais que c’est un service qu’ils offrent (ou à tout le moins qu’ils offraient), ils peuvent orienter votre étude en vous renseignant sur les parties que vous avez moins bien réussi à l’examen.
septembre 26th, 2014 at 10:31
Bonjour Audrey comment sest passé ton examen? pour moi cest le désastre je suis démolie
septembre 27th, 2014 at 2:48
J’ai composé pour l’examen le 22 Septembre 2014. Le sentiment d’avoir échoué me tiraille l’esprit. On ne sait pas trop à quoi s’attendre. Pour réussir faut il obligatoirement réussir chaque module: Perinat -Gymeco-Med-Chir-Psy ou c’est une moyenne des des deux cahiers? Prière me répondre.