la route ouverte

la route ouverte

mon cheminement en soins infirmiers

la route ouverte RSS Feed
 
 
 
 

préparation de l’examen de synthèse de programme

 

Je n’ai pas obtenu un succès retentissant à l’examen de synthèse de programme (82%) mais comme j’ai néanmoins réussi, ce qui est quand même l’objectif visé, voici quelques informations sur ma méthode de préparation et d’étude. D’autres ont bien réussi avec différentes méthodes, je crois qu’il s’agit essentiellement de ne pas déroger du système qui a bien fonctionné pendant toute la durée du programme.

1. D’abord j’ai réuni dans un cartable tous mes résumés d’examens des 3 années. J’ai réimprimé ceux que j’avais jetés (c’est l’avantage de faire ses résumés en format numérique), mais il était plus pratique de pouvoir utiliser ceux que j’avais déjà annotés en étudiant.  J’ai ensuite réuni les autres informations que je détenais, sois 2 documents préparatoires à l’ESP, obtenus via des connaissances.  J’ai sorti le cahier préparatoire aux ÉCOS du cégep de Sorel que j’avais acheté en 1e année  et le guide préparatoire de l’OIIQ pour l’examen de l’ordre.  J’ai retrouvé le guide d’enseignement que nous avions monté lors du stage en périnatalité.  Pour l’étude de la médication,  j’ai regroupé les informations dans des tableaux par catégories de médicaments, pour les classes qui risquaient d’être questionnées.  J’avais déjà commencé à le faire au fur et à mesure des sessions, ce ne fut donc pas très long d’ajouter les quelques médicaments manquants.

2. J’ai lu une première fois attentivement tous mes résumés en commençant par les plus anciens, puisque j’avais déjà bien en mémoire la matière des examens des semaines précédentes. Lors de cette première lecture, j’ai pris des notes à la main dans le but de constituer des mini-résumés de quelques pages au maximum. Ainsi, pour l’ensemble de la session de psychiatrie, j’ai résumé à la main en 8 pages la matière contenue dans une centaine de pages de résumés d’examen. J’ai fait le même exercice pour périnatalité et pédiatrie, puis pour chirurgie. J’ai aussi parcouru les cahiers de techniques pour résumer à la main les enseignements reliés à des techniques de chirurgie, par exemple soins de stomie ou de trachéotomie.

3. Pour changer le mal de place, j’ai lu le cahier préparatoire de l’OIIQ. Je n’ai pas fait les exercices, j’ai plutôt lu le corrigé des deux parties, théorique et pratique. Nonchalamment, j’ai aussi lu le guide du cégep de Sorel une fois.

4. J’ai relu rapidement tous mes résumés au cas où quelque chose m’aurait échappé, puis j’ai relu attentivement  les mini-résumés à la main. Par la suite, je n’ai plus étudié que les mini-résumés, où j’étais assez confiante d’avoir regroupé l’information la plus essentielle.

5. Deux jours avant l’examen,  j’ai lu les 2 documents préparatoires fournis par d’anciens étudiants pour voir si quelque chose s’y trouvait qui n’aurait pas figuré dans mes notes, j’ai relu le guide de l’OIIQ  et  continué mon étude dans mes mini-résumés.

D’une manière générale, j’ai mémorisé très peu d’éléments, à part quelques items reliés à la médication, car la quantité d’informations ne permet pas de manière réaliste d’apprendre par coeur vraiment. J’ai décidé de privilégier les enseignements et les interventions  au détriment des notions biologiques, physiologiques ou théoriques, qui n’avaient pas ou peu été questionnées au cours des sessions.

Je savais que j’étudiais trop, même si j’avais l’impression de ne pas étudier suffisamment: on voudrait tout connaître, tout comprendre et tout savoir, ce n’est pas possible, ce n’est pas nécessaire non plus évidemment, mais l’enjeu est tellement grand, la pression tellement forte que dans mon cas, seule l’étude acharnée vient à bout de me calmer les nerfs un tant soit peu.

Les profs nous avaient beaucoup dit que si on avait eu de bons résultats aux examens, on allait probablement avoir le même genre de résultat à l’ESP, de ne pas trop s’en faire avec ça, qu’il ne fallait pas aller dans les détails pour l’étude, qu’il fallait s’en tenir à ce qui doit être connu par exemple d’une infirmière d’équipe volante qui va pour une journée en périnatalité.   Heureusement que nous n’avons accordé aucune crédibilité à ces propos.

 

Website Pin Facebook Twitter Myspace Friendfeed Technorati del.icio.us Digg Google StumbleUpon Premium Responsive

4 Responses to “préparation de l’examen de synthèse de programme”

  1. 1
    Nicole:

    Bonjour,
    je suis infirmiere former hors du Qc.J’ai echoue un fois l’examen a l’OIIQ, l’annee passee. Peut-etre je ne suis pas bien prepare, le stress mal gerer et aussi peut-etre le language. Je ne sais pas vraiment qu’est-ce que je ne fait pas bien. Est-ce que tu peux m’aider avec quelques informations, comment je peux avoir le livre de Sorel-Tracey ou sont plusieurs Ecos(c’est ca que je compris)et aussi ou je peux faire de ECOS preparatoire. Je besoin de quelqune pour me donner des feedback et de me corrige mes errores. Je suis nouvelle ici a Montreal et je ne connais pas bien le ville. Escuse-moi mes errore d’orthographies. Tu peux m’envoie un courriel dans le plus court temps possible.

  2. 2
    Mounia:

    Bonjour Stéphanie,
    je finirais mes études collégiales d’ici peu. j’ai besoin de savoir comment se procurer le livre de Sorel Tracy et si tu peux me suggérer d’autres ressources et livres aussi un lieu pour la préparation à l’examen. N.B j’ai bien aimé ton Blog, j’y suis tombée par hasard. Merci d’avance

  3. 3
    george:

    Salut!Est-ce que tu peux m’aider avec quelques informations, comment je peux avoir le cahier préparatoire de Sorel-Tracy ou sont plusieurs Ecos. J’ai fait de recherches sur le net, mais aucune resultat. Merci.

  4. 4
    naoual:

    Salut Stephanie,
    bientot je finirais mes etudes collegiales. J’ai besoin de votre aide comment se procurer le livre de Sorel-Tracy et comment se preparer pour l’examen. Merci

Laisser un commentaire